Comme prévu le débat animé par le duo formé par P Quilès et Jean-Pierre Favennec fut passionnant ! Et il a fallu l’autorité naturelle de Roland Toulouse pour canaliser toutes les interventions.
Le sujet des primaires a été le point culminant de cette soirée. Sur le fond, il apparaît à tous nécessaire d’ouvrir le collège des électeurs pour donner une légitimité inconstestable à notre futur(e) candidat(e) . Mais les modalités pratiques ont longuement été évoquées. L’article du Parisien soulignait de manière humoristique comment l’intervention d’électeurs de droite dans le vote pourrait modifier le résultat en choisissant le candidat le plus à droite! Est ce un risque à prendre ou faut il limiter les primaires aux seuls militants du PS ?
Le sujet des cumuls a été moins vif dans la mesure où les propositions de non cumul seront effectives à partir de 2014. Bien évidemment la période transitoire a été interprétée comme un recul devant la pression des sénateurs.